« Je suis né à Paris au gré d’une garnison, mais ma vie a été au départ « nomade » avec des déménagements tous les deux ans en moyenne ». En intégrant en 2017 l’école militaire de Saint-Cyr, Benoît, 19 ans, fils d’officier, a répondu à une vocation sans équivoque. « Pour moi, le plus beau grade du monde est celui de lieutenant, chef de section ! »

Un environnement porteur

Cinquième d’une fratrie de huit, il est arrivé à Stanislas comme collégien puis lycéen boursier, avant d’y étudier en prépa grâce, là aussi, à une bourse de l’établissement et le soutien de la Fondation Stanislas. Un choix d’études motivé, outre son niveau scolaire, par la réputation et la qualité de l’enseignement : « Je peux affirmer que j’ai rencontré en prépa des professeurs qui sont des Maîtres (avec un M majuscule), pédagogues passionnés, patients et au service de leurs élèves. »

Trouver un sens à sa vie

Devenir ingénieur ou manageur d’équipe ? Non, car « il manque pour moi un sens plus fort que j’ai trouvé dans l’armée. Saint-Cyr est une vocation guidée par la volonté et l’honneur de commander des hommes, de les connaître et de monter à l’assaut avec eux. Au service de la France. »

 

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